mercredi 11 mars 2015

L’accès a l’eau potable, au centre des réflexions de l’Association Africaine de l’Eau (AAE-WOP).


La bannière de l'atelier de l'AAE.

Une vue des participants à cet atelier
Crédit photo: Wash-JNCI
Le 06 mars dernier à l’hôtel TIAMA au plateau centre des affaires de la capitale économique ivoirienne, l’association africaine de l’eau s’est réunie en atelier afin de présenter les résultats du projet FAE/BAD-AAE autour du thème « apprentissage par paire et évaluation des performances des operateurs d’eau en Afrique ». De 08 à 09 heures ce sont plusieurs pays africains qui se sont penchés sur la problématique de l’accessibilité de l’eau à toutes les couches sociales qui composent nos sociétés africaines. Le nouveau concept WOP, partenaires entre opérateurs de l’eau. Les Wops sont des relations d’échanges basées sur des visites mutuelles entre deux ou plusieurs opérateurs du secteur de l’eau et de l’assainissement.
La coordonatrice du partenaire média (Wash-JNCI)
et le coordonnateur du WOP.
Relativement au projet d’apprentissage par paires et d’évaluation  des performances des sociétés d’eau en Afrique en anglais : « peer-to-peer learning and benchmarking of African water utilities » qui a pris fin au 31 décembre 2014 etc, il a été convenu d’organiser un atelier qui va servir de cadre de clôture officielle du projet. L’objectif de cet atelier était de renforcer les capacités, de faire une revue globale du projet ensuite évaluer l’attente des objectifs ainsi que l’impact des partenariats sur les entreprises impliquées. Et enfin, faire des recommandations quant à l’avenir de telles actions.
L’eau source de vie, on ne cessera jamais de le dire. Il est donc important voir imminent que l’on se penche sur la question de l’accès à l’eau potable dans tous les ménages africains. C’est encore réalisable mais il faut y mettre du sien. Et, c’est ce que Le WOP a compris avec son partenaire media WASH-JNCI, le réseau des journalistes et professionnels des médias pour l’accès à l’eau potable et l’assainissement.

Landry Zahoré.