mercredi 19 avril 2017

VOICI LES EFFETS NÉFASTES DES PESTICIDES SUR LES DROITS DE L’HOMME




Les pesticides dangereux coûtent très cher aux gouvernements et ont des effets catastrophiques sur l’environnement, la santé de l’homme et la société dans son ensemble.  Ce qui met en péril certains droits de l’homme et expose certains groupes à un risque élevé de violations de leurs droits. 
Nous devons dire NON aux pesticides, produits dangereux pour nos sols et notre agriculture ! En lieu et place des pesticides, utiliser les excréments des volailles et du bétail, comme solutions alternatives.  
Je vous ai donné l’information. Il ne faut pas attendre demain, car demain, c’est tard.

Source : Assemblée générale Nations Unies 24/01/2017


Landry Zahoré, la plume au regard franc 

samedi 15 avril 2017

Pollution de la baie de Cocody, la Pisam* sur le banc des accusés.



Les travaux se déroulant actu pour la réhabilitation de la
baie ont mis a nu les malversations écologiques de la Pisam.


Qui n’a jamais mangé les carpes pêchées dans la lagune Ebrié du côté de Blauckoss ? Que cette personne se signale. Cela n’était qu’une rumeur. Du moins c’est ce qui se disait lorsque les pêcheurs de Blauckoss, village Ebrié vivant essentiellement de pêche artisanale, se mettaient à raconter leur mésaventure « On trouve toujours des compresse et autres choses de l’hôpital (Pisam) toujours dans la bouche des poissons qu’on réussit à pêcher… »

Longtemps après, cela n’était pas pris au sérieux. Mais il fallut les travaux de réhabilitation qui se tiennent au niveau de la baie de Cocody pour qu’on découvre un tunnel d’évacuation de la Polyclinique Sainte Anne Marie d’Abidjan (Pisam), déversant dans la lagune toutes sortes de déchets médicaux (compresses, sparadraps, seringues, etc.) Tout ce que vous pouvez vous imaginer.

Nous sommes tous responsables en partie de la pollution de la baie lagunaire de la commune de Cocody. Il se raconte que les gens pratiquaient le ski-nautique dans le temps sur cette baie. Ça, c’était avant. Et maintenant, on essaie de rattraper ce que nous avons vécu quand nous étions jeunes (c’est le cas du Roi du Maroc.)

Je suis resté sans voix lorsque mes sources m’ont donné cette information que tout le monde sait probablement à Abidjan. Comment comprendre que cette structure sanitaire de renom puisse agir de la sorte.
Il y a trop de chose qui se font sous les tropiques qui mettent la vie de nombreux ivoiriens en danger.

Selon l’Organisation Mondiale de la Santé :

lundi 10 avril 2017

Côte d’ivoire pays forestier, Ça c’était avant !

Le fleuve N'zi Comoé a tari du côté de la S/P de Bengassou dans le département de Bocanda
Conséquence d'un couvert forestier qui disparaît au fil des ans. 


S’il y a un fait qui n’est plus à cacher, c’est bien le fait que la Côte d’ivoire perd de plus en plus son couvert forestier tel un vieillard atteint de calvitie avancée.
En 1960, la Côte d’Ivoire n’avait rien à envier à l’Amazonie avec plus 16 million d’hectares de forêts. Ça, c’était avant. Oui, avant ! Parce que maintenant le pays a perdu tout ce merveilleux couvert forestier qui était une fierté. Moins de 2 millions d’hectares, voilà ce qu’il reste de ce que le créateur nous a laissé en lègue.
La forêt ivoirienne est en train de disparaitre et tout ce qui va avec. Ce sont les cours d’eaux, les fleuves et autres affluents qui faisaient la fierté de notre pays.

La SODEFOR au-devant de cette gestion calamiteuse…

Accusé levez-vous ! Oui, les défenseurs de la faune et de la flore ne sont pas tendre avec la Société de Développement des Forêts (SODEFOR) qui durant ces 50 dernières années a manqué de dextérité dans la gestion de la chose commune. Lors de la Journée Internationale des Forêts (célébrée le 21 mars 2017 de façon incognito) certaines organisations non gouvernementales ont manifesté leur grand désarroi quant à la gestion aux allures mafieuses de la faune et de la flore ivoirienne par cette entité de gestion forestière. Plusieurs réserves et forêts dites classées sont chaque jour agressées par les populations autochtones. On y cultive, notre cacao national. Ceux qui cautionnent cela, selon ces ONG, sont les ‘’intouchables’’ du moment. Réveillons-nous SVP de notre sommeil qui risque de nous emporter ! Parce que la forêt, pour moi, c’est la VIE !

Des solutions alternatives pour y remédier !

Il faut reboiser. Adapter nos pratiques agricoles. Certaines organisations au nombre desquelles figurent l’Association des Propriétaires de Forêts Naturelles et Plantations d’Afféry (APFNPA) œuvrent dans ce sens. Cette association a conçu pour le besoin de l’alternance un charbon à base de résidus (cabosses de cacao etc.) appelé ‘’Bio Charbon’’. La ville d’Afféry est réputée comme étant une zone ou l’exploitation forestière est à son paroxysme à cause du bois de chauffe utilisé pour les besoins domestiques. Pour en dissuader la population et la sensibiliser sur le danger de couper le bois, l’APFNPA avec son SG CONE Gaoussou fait la promotion de ce charbon sans fumée, rapide et sans odeur. Un charbon qui reste toutefois à améliorer.
Une amie et moi, allons-nous rendre à Afféry pour le besoin dans les jours à venir. 
Entre temps retenons que si la pression n’est pas trop sur ces assassins d’un autre genre, et bien c’est dû au fait qu’il n’existe pas pour ma part une société civile capable de mettre la pression sur les décisions cruelles que prennent nos autorités.

Toutefois, il est important de mentionner qu’il existe plusieurs solutions alternatives que des personnes ou structures ont conçues pour les proposer aux paysans dans le but de les amener à mettre un terme aux agressions de la flore. Plus de détails dans un futur billet probablement.

Je ne vais pas resté coupable d’un génocide organisé. Je parlerais tant que j’en aurais les forces.



Landry Zahoré, la plume au regard franc.

mardi 4 avril 2017

Historique, une marche en faveur de la protection de l’environnement !

une partie des marcheurs immortalisant ce moment

Du jamais vu !! Une marche verte ! Chapeau vas aux organisateurs de cette marche. De mémoire, c’est la première marche du genre sous les tropiques. Longtemps mûri, aujourd’hui c’est chose faite. ‘’La marée verte’’, comme elle a été nommée, s’est véritablement emparée de la ville d’Abidjan !
La première marche en faveur de la protection de l’environnement s’est EF-FEC-TI-VE-MENT tenue le samedi 25 mars 2017 dernier dans la commune du Plateau.
Parti de la cathédrale Saint Paul d’Abidjan, elle s’est achevée à l’ancienne place SORBONNE.